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Par Chachlik le 6 Mars 2006 à 17:26
A plat, explosé de fatigue... Saine fatigue.
Je finis par aimer la fébrilité de l'écriture, quand l'encre dévoile sa ration d'intelligible. 6000 pages d'archives scientifiques pour 120 pages à rendres au final. Progresser dans un sujet hermétique est une joie qu'on apprécie par petite touche. Les peintres procèdent ainsi. Quoi de mieux que d'avancer à taton. Puis, sentir que l'on commence à maîtriser ses fondamentaux, des principes, des règles, une certaine forme de logique qui n'est pas à l'origine la vôtre.
J'aime comprendre. J'ai mis du temps à me rendre compte que j'étais fait pour ça.
Je suis un cérébral. j'ai mis du temps à saisir que ce n'était pas forcément une insulte.
Je suis un agenceur de sens. J'ai mis du temps à admettre que cela valait bien les élans poétiques.
Je est parfois un autre, de la même façon que cet espace de respiration ne traduit pas une personnalité dans sa globalité.
Certes mais là, je suis moi, ni mieux ni pire qu'un autre mais avec la ferme intention d'embrasser le monde par un autre bout de la lorgnette.
On a les engouements qu'on peut.
Photo (roue à plat dans le chouf Libanais) : Bob le Bonobo
10 commentaires -
Par Chachlik le 6 Février 2006 à 18:15
Voilà depuis que je cause photo avec des types de toute la planète et qu'on me dit que je ne suis pas trop mauvais, un truc soudain me traverse l'esprit.
J'ai un peu touché à tous les genres mais (animalier, paysage, macro, portrait, etc), j'ai même fait un peu de nu avec mes amantes mais, je ne me suis jamais essayé au nu plus professionnel... Et là, ça me tarraude sec. Je sens que c'est là que je vais peut-être trouver la voie royale : Une vie faite de courbes et de nitrate d'argent.
Problème, je ne suis pas du genre timide mais j'ose pas pour autant aborder certaines question. Bref, sur cette question épineuse du nu et du modèle afférent (plutôt féminin pour le moment, je m'essairais au nu masculin quand je serais bien sûr de moi), je tourne en rond.
Pas de modèle, plus de modèle oserais-je même dire car la fille qui me tenait lieu d'amante, de femme et à l'occasion de muse photographique a disparu corps et âme....
Alors, je suis coincé, cerné, fait comme un rat (gasp) et... Une fois n'est pas coutume, j'en appelle à votre très grande mansuétude, Mesdemoiselles : j'ai besoin de vous... I need you ! dirait Oncle Sam !
Je cherche un ou plusieurs modèles. Un c'est pas mal, plusieurs, c'est encore mieux.
J'ai l'air de rigoler mais je suis (pour une fois) tout à fait sérieux...
Quand à la discrétion, aux conditions des séances, etc., j'expliquerais cela après contact (de préférence pour le moment via ma messagerie blog), ensuite par mail et de visu... Je serais évidemment à l'écoute des désirs des unes et des autres.
Je privilégie pour le moment du nu plutôt très soft (cf. photo)... Je ne peux garantir pour le moment aucune rémunération conséquente... En revanche, gloire et renommée assurée pour le modèle.
Voili voilà...
Photo : Le Coati (All right reserved)
53 commentaires -
Par Chachlik le 28 Septembre 2005 à 18:54
Quand Roussette sort de l'avion, il fait une chaleur torride. Le ciel est bleu comme une orange et sans aucun nuage. Le formalités de douanes passées, Roussette entend une voix qui lui crie : « Roussette, Roussette, ça me remplie de joie de te voir ». Aussitôt, elle aperçoit Ibrahim et se jette dans ses bras : « moi aussi Ibrahim je suis heureuse ». Ibrahim l'a prend par la main et ils sortent de l'aéroport. Ils montent tous les deux dans un taxi-brousse et se dirige vers le village d'Okavango, non loin du parc national du Nicolo-Koba. Pendant le trajet, Ibrahim lui dit : « je suis soucieux Roussette ? ».
« Pourquoi cela Ibrahim ? » demande Roussette avec inquiétude.
« Par rapport à la promesse que je t'ai faite » répond Ibrahim. « Il me faut l'accord de ma cousine, <st1:personname w:st="on" productid="la Reine">la Reine</st1:personname> d'Okavango », et je ne sais pas pourquoi, mais en ce moment, cette satanée femme n'arrête pas de me tourner autour et de m'ennuyer avec des questions que je ne comprend pas ».
« Tout va s'arranger » lui susurre Roussette tout en lui donnant un chaste baiser dans le cou. Ibrahim soupire : « Pourvu que tu ais raison, Roussette. Nous arrivons au village, nous serons bientôt fixé. »
Roussette acquiesce. Devant, elle, au flanc d'une montagne se tient le plus merveilleux village qu'elle ait jamais vu de sa vie... A suivre...<o:p> </o:p>
Remerciement spour les texte et photos à : Pierre Javelot et CLD
6 commentaires -
Par Chachlik le 28 Septembre 2005 à 18:50
Quinze jours ont passé et Roussette est parti à l'aéroport. Puis, on lui a demandé d'embarquer et elle est montée dans un grand Boeing 707 à Hélices avec les ailes peintes aux couleurs bleues, blanches, rouges. Ce sont les couleurs nationales de cette grande grande patrie qu'est la<st1:personname productid="la France... La" w:st="on"> France... La</st1:personname> patrie tout d'abord des Français mais aussi pendant un temps plus ou moins long des Sénégalais. Tous comme les Français, les Sénégalais avaient tout le monde sait cela - des ancêtres gaulois chevelus, blonds et barbus.Roussette dans l'avion est toute heureuse... Elle survole l'océan puis un grand pays tout jaune... Elle sait que dans quelques heures elle sera au Sénégal. Elle est excitée comme une puce à l'heure de piquer les zoreilles d'un chaton, elle ne tient plus sur son siège. Elle pense à Ibrahim, son bel et grand Ibrahim. « Pourvu qu'il n'ait pas oublié la promesse qu'il m'a faite » murmure-t-elle en se rongeant les ongles.
A suivre...
Remerciiements pour le texte et la photo à : Pierre Javelot
1 commentaire -
Par Chachlik le 28 Septembre 2005 à 18:48
Aujourd'hui, Roussette se dit que c'est un jour chouette. Elle a reçu une lettre D'Ibrahim Diop, son meilleur ami qui vit au Sénégal. Celui-ci l'invite à venir la rejoindre dans son beau pays chaud. Roussette en est toute émoustillée.Le Sénégal, ses crocodiles, ses baobabs, ses gris-gris. Elle est tellement impatiente d'y aller, que dans la seconde, elle commande sur un Internet un billet pour Dakar. "Chouette" se dit-elle, "dans quinze jour, je serais en Afrique".
A suivre...
Texte et photos : Pierre Javelot et CLD
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