Ouais ou tout au moins t'as pas tort.
Fais ton bout de chemin en suivant tes antennes. Laisses donc les cercles concentriques se resserrer sur des graines de hasards. Fais-toi de belles histoires dans ta tête en te persuadant qu'elles ont au moins l'hypothèse de l'originalité.
Suis ta ligne, carapace, esgourdes donc tes portugaises, désensables les écoutilles, pousses un iota le satellite sur la fréquence hyperceltes... Le siècle est encore capable de produire de drôle de miracles.
Des miracles comme tu les aimes, toi et tes exosquelettes... Tu sais, Warholl parlait du quart d'heure de célébrité pour chacun... Et là , funambule jacobin, béotien narvalesque, amoureux de la Baleine des Basques, nostalgique du Grand Pingouin, tu la tiens ton histoire assez exceptionnelle.
Et le hasard produit du grandiose.
Et il te mets en phase avec des histoires de roman.
Et tu dis, jappant, que l'orthographe, on en a rien à faire, parce que l'orthographe, c'est la règle.
Par contre les belles histoires, celles de dans les livres, on les vit pas 107 fois. Les moulins à vent on finit par les oublier à force de se dire que le vent a tourné...
Alors, molusque, extrapole, oumlaout, zou zi, raconte ti un début d'histoire...
Alors voilà , grenouille, tout a commencé en Bretagne. Un 31 décembre. Dehors, les nuages glaviottaient sec leur rage contre les grands ciels bleus fayots. Dans la maison froide, on se préparait une chaude ambiance... Un concert... Une belle organisation avant le grand chambard. La nuit s'est passée...
Et puis dix ans plus tard par les méandres du Réseau... crapeaux et grenouilles, longicorne et salicorne se retrouvent pour une grande salade.
Manque juste le sel.
Photo (longicorne chinois en route pour la grande muraille) : Le Coati & SD
c'est vrai que c'est du genre Incédibeule