• C'était à Buénos-Aires en 1999. Le ciel paraissait devoir flamber. Même sans être Super Ticieux, on ressentait comme un petit côté fin du monde...

    Photo (réalisée sans trucage) : Le Coati


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  • Il y a une contradiction dans l'image... Cette eau, l'Homo autochtinus comme l'Homo touristicus en ont besoin pour vivre sous ces lattitudes désolées. En même temps, cette eau est contenue par du plastique, c'est-à-dire du pétrole... A ciel ouvert, le pétrole est un dangereux polluant. Dès lors, un seul mot d'ordre est possible : à bas le plastique ! Revenons à la bonne vieille outre d'antan, à la vessie de dromadaire ou à défaut à la bouteille en verre... Car, le verre au fond n'est fait que de sable... et le sable, c'est presque déjà la poussière à laquelle nous retournerons tous.

    Photo : Le Coati

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  • La façon d'agencer le foin est différente dans toutes les civilisations du monde. Dans le Rif, on lui donne cette drôle de forme de... champignon (les mauvais esprits vont se rhabiller). Afin que la paille ne s'envole, la motte de foin (conique) est recouverte d'un filet lesté de pierre. Les formes que l'imagination humaine a donné au foin demeurrent pour un objet de fascination et de mystère. Désaventage de cette motte rifaine, en cas d'ébats trop prononcés, on risque de rester coincé dans les mailles du filet.

    Photo : Le Coati


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  • Je ne peux plus ajouter d'image sur mon site, mystère de la technioque. Alors, je vais évoquer l'anti technique, la combustion, ce kif que les gens fument à foison... A Foison ? Non, à Chaouen. La ville bleue. On en fume dans les rues. On en fume dans les salons de thé. On en fume entre jeunes. On en fume avec les vieux. On en fume en venant de l'étranger (principalement d'Espagne, de France et du Portugal), on en fume en étant autochtone. Ce soir, il règne une ambiance bon enfant dans la ville. Les gens se perdent dans des méandres cannabiques. Un peu de fumée bleue. Des volutes de kif kif et des histoires qu'on se raconte entre amis ou entre connaissance d'un soir. Je ne fume plus... Voilà pourquoi peut être, j'en parle avec nostalgie... et la jolie portugaise dont j'ai croisé le regard, j'aurais aimé accepter le joint qu'elle me tendait. Foutue morale qu'on s'instaure et l'on regrette ensuite. Pourquoi ces fumées qui nous graillent les poumons comme nénuphar sur Chloe occasionnent-elles autant de romantisme ?

    Réflexion du lendemain : jamais il ne faudrait dire jamais.

    Bob


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  • Il faut être honnête, le Maroc offre un visage contrasté, mélange d'archaïsme et de modernité. Il n'empêche qu'un mec en cariole pollue moins l'air des autres qu'un inconscient au volant d'une 4 x 4.

    Photo : Le Coati


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